“Bienvenue chez nous” : Isabelle Balkany dévoile leur grande villa, les internautes se moquent « oups, ils ont oublié de cacher le…

Les époux Balkany, puissants édiles de la ville de Levallois-Perret, n’ont cessé de défrayer la chronique ces dernières années. Soupçonnés de fraude fiscale, ils ont été jugés et condamnés une première fois en 2020 à de la prison ferme. Une peine de 4 et 5 ans de prison qui a été purgée sous bracelet électronique pour un début, puis annulée en février 2022, suite à de trop nombreux manquements. Patrick et Isabelle Balkany se sont constitués un important patrimoine immobilier dont la dissimulation leur est aujourd’hui préjudiciable. Petit tour d’horizon de leurs propriétés à travers le monde.

La villa Pamplemousse

Acquise en 1997, la Villa Pamplemousse est située à Saint Martin, véritable petit coin de paradis aux Antilles. Elle est achetée à cette époque par une société constituée au Liechtenstein, une société fiduciaire d’origine suisse. Isabelle Balkany après en avoir nié la propriété, a fini par l’admettre, en précisant que cet achat a été réalisé grâce à un héritage. Son époux en est lui bénéficiaire depuis 2004.

Ils y mènent grand train, tout en se présentant comme de simples locataires, ce qui leur permet de ne pas la déclarer au fisc. En 2015, la villa saisie a été vendue à un riche industriel italien, afin d’éponger une partie des dettes du couple.

La villa Serena

Une autre propriété située à Saint- Martin dont les célèbres époux ont également affirmé être locataires entre 1989 et 2002. Acquise grâce à Belec Établissement, une société écran située encore une fois au Liechtenstein. Ils y prennent leurs quartiers d’été et comme pour la Villa Pamplemousse acquise bien après, les invités sont surtout des personnes publiques. Une fois de plus et face aux preuves qui leur étaient montrées, Isabelle et Patrick Balkany ont dû se rendre à l’évidence et admettre que cette résidence est également une de leurs propriétés.

Le Riad de Marrakech

La villa Dar Gyucy située à Marrakech a été acquise grâce à un montage financier orchestré par Jean-Pierre Aubry, un des lieutenants de Patrick Balkany à Levallois et par son avocat, Arnaud Claude. Ces derniers se sont cachés derrière une SCI d’origine marocaine, elle-même propriété d’une société panaméenne.
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